« Pardon, histoire, oubli »

La question du pardon dans l’histoire des relations internationales et des rapports entre les peuples se pose sur le fond des politiques de mémoire et d’oubli, dont il faut pointer les dangers. Certes, elles sont essentielles pour définir ce que Lire plus …

« La mémoire, l’histoire, l’oubli, un monument d’inquiétude »

Dans Une toute autre histoire, Questions à Jean-François Lyotard, Elisabeth de Fontenay décrit la souveraine indifférence des philosophes contemporains à l’égard de l’histoire, et ponctue en note : « Il y aura eu une exception notoire dans la philosophie française : Paul Ricœur. Lire plus …

« L’éthique du pardon chez Paul Ricœur »

D’emblée je voudrais souligner que le pardon est une figure assez marginale dans l’éthique de Ricœur, et qu’il serait très difficile de soutenir que l’éthique de Ricœur soit une éthique du pardon. Majorer le pardon dans l’éthique de Ricœur serait Lire plus …

« Ricœur et la question tragique »

Si le temps et le mal, qui désignent une disproportion intime, une fragilité humaine, sont des thèmes aux parages du tragique, cette étude voudrait distinguer dans la démarche même de Ricœur deux sortes de tragique qui forment la situation fondamentale Lire plus …

L’irréparable en histoire

L’histoire est tournée vers le passé, c’est à dire proprement vers l’irréparable, qui en est la trame, le fond obscur et irréductible. Milan Kundera, d’une manière inimitable et tellement caractéristique de l’Europe centrale contemporaine, avançait dans La plaisanterie que « personne Lire plus …